email: PipNY@aol.com
beneficie du soutien du C.N.C.
Tuesdays at 8pm at L'Entrepot, 7-9 rue Francis de Pressense, Paris 75014.
22 Avril 1997 : 20h
Dietmar BREHM; Gustav DEUTSCH; Paul DIVJAK; Jochem EHMANN; HANZEL &
GRETZEL; INSTITUT FUR EVINDENZWISSENSCHAFT ; Kurt KREN; Marco LANZA; Holger
MADER; Shaheen MERALI; Kristin MOJSIEWICZ; Jonas RAEBER; Tim SHARP; Sikay
TANG; ALIEN NATION 1996 coul son 55'. FILMART / TAKES / POSITION. Le film
en tant qu'art prend position. Une initiative du groupe Sixpack de Vienne.
Sur les rapports que les cineastes entretiennent avec le politique.
29 Avril 1997 : 20h
OTA Yo : TEMPS TOPOLOGIQUES 1981 coul sil 10'; Lazlo MOHOLY-NAGY : GROSSTADT
ZIGEUNER 1932 n/b sil 11'; Jean-Paul DUPUIS : EX-TENSION 1988 n/b son 6';
Didier SILHOL : ENTRE AMIS 1992 coul son 13'; INSTITUT FUR EVINDENZWISSENSCHAFT
: STILLEBEN 1995 n/b sil 11'; Stan VANDERBEEK : SITE ROBERT MORRIS; 1964
n/b sil 7'; Gordon MATTA-CLARK : TREE DANCE, 1971 coul sil 9'36"
Second programme autour du mouvement et de la danse. Passage vers la performance pour certains, pour d'autres c'est l'enregistrement de la danse qui faconne le film alors que d'autres encore travaillent a restituer le choregraphique.
6 Mai 1997 : 20h
AMOROSO 1983-86 coul sil 14'; VO/ID 1985-86 n/b son 2E 7'; DIVERS-EPARS 1987 coul son 12'; SPETSAI 1989 coul sil 15'; SID A IDS 1992 coul sil 5'30"; NEW YORK LONG DISTANCE 1994 coul son 9'; STILL LIFE 1997 coul son 12'24" EVANESCENT sous reserve
En premiere le nouveau film du cineaste qui travaille sur les rapports
des mots: dites, images ainsi que sur les empilements qui manifestent a
la fois le vertige et l'effondrement. Du personnel au politique.
13 Mai 1997 : 20h
Janneque DRAISMA ; Barbara HANLO; Tina KEANE; Harald BUSCH; Cane CAPOVOLTO;
Nina DANINO; BARR & FERRAL; Marc GEERARDS; Bavo DEFURNE
Rainbow Stories 1996 coul son 95'
9 monochromes en super 8. Ce projet est une initiative du Studio Een
installe a Rotterdam. Ce laboratoire de tirage, de gonflage et de montage
produit et diffuse des compilations tournees originellement en super 8.
20 Mai 1997 : 20h
Cecile FONTAINE : STORIES 1989 coul son 7'; Emily BREER : BRUTE CHARM
1989 coul 25'; Cecile FONTAINE : LION LIGHT 1996 coul 2'30; Nicolas GAUTRON
: SARDINES A LA TOMATE ; 1992 coul son 4'30"; Cecile FONTAINE : SAFARI
LAND ; 1996 coul son 10'; Barbara HAMMER : ENDANGERED 1988 coul son 18'
La chasse aux images. Les betes feroces et domestiques hantent notre
paysage mental de plusieurs facons. Un programme qui traque la bete sans
souci d'ethique particuliere mais selon des registres esthetiques bien distincts.
27 Mai 1997 : 20h
Henri CHOMETTE : JEUX DES REFLETS ET DE LA VITESSE 1923-25 n/b sil 6';
AMERICAN MUTOSCOPE BIOGRAPH : INTERIOR NY SUBWAY, 14th St. to 42nd Street;
1905 n/b sil 6' 100F; Edwin PORTER : THE GREAT TRAIN ROBBERY 1905 n/b sil
9; Kohei ANDO : TORI-SUGIRU DENSHA NO YONI / LIKE A PASSING TRAIN 2 1979
coul son 7'; Jurgen REBLE : CHICAGO 1996 n/b son 13'; Bill MORRISON : THE
DEATH TRAIN 1993 n/b son 17' ; Charles WRIGHT : CABLE CAR MELODY 1986 coul
son 26'
De quelques objets de transports en commun des citadins : le metro, le
bus, le tramway... Un transport d'images qui semble respecter la cadence
du dispositif cinematographique.
3 Juin 1997 : 20h
Jerome HILL : FILM PORTRAIT
1970 coul son 81'
Il s'agit du journal filme de Jerome Hill en version francaise. Dans ce film le cineaste explique son passage progressif au cinema personnel. Des pochades des annees 20, aux documentaires celebres. Une autobiographie cinematographique exemplaire. Ce journal est la manifestation au moyen du cinema d'une liberation d'un artiste vis a vis de sa famille, de la classe dont il est issue et de tous les codes esthetiques qui l'accompagnent.
10 Juin 1997 : 20h
Jules ENGEL : TRAIN LANDSCAPE: 1975 coul son 4'; Giovanna PUGGIONI :
OLTREMARE: 1985 coul sil 9'; Nicolas REY : TERMINUS FOR YOU: 1996 n/b son
10'; Bart VEGTER : NACHLICHT 1993 coul son 13'; Rose LOWDER : TRACE 1996
coul sil 1'; Paul DE MOL : ANCIENTRY 1969 n/b son 3' Sandra DAVIS : AN ARCHITECTURE
OF DESIRE 1988 coul son 15'; Peter ROSE : THE MAN WHO COULD NOT SEE: FAR
ENOUGH 1981 coul son 33'
Depart. Du voyage comme alibi au surplace. De quelques deplacements physique
ou psychique en quelques films qui nous eloignent de nos habitudes vers
d'autres rivages.